On a fait beaucoup d'essais sans réussir à avoir le cactus en entier! Comme on cuisait au soleil, dans une végétation hostile, on s'est souvenu que le mieux est l'ennemi du bien 😉


Nous repartons sur route 1 direction le Parque Marino Nacional Bahia de Loreto et ses plages merveilleuses sur des dizaines de kms.

De ce côté, la mer de Cortès, peu profonde près des côtes, calme et bien plus chaude que l'océan, vantée pour le snorkeling et la beauté de ses paysages..

On confirme tout ça!



Quelques habitations et même un GOLF!!


piste d'accès à la plage

le fameux spot tranquillou, où nous avons dormi deux soirs entre la Playa Perla. et la Playa Requeson, en face de la isla del Carmen.



A Loreto, la seule bourgade du coin.



Le lendemain matin nous avons pris une panga (= lancha = barque à moteur) pour rejoindre l'ile Coronado, une île volcanique sanctuaire d'oiseaux marins et d'otaries californiennes.

mission crème solaire...je ne faiblis pas

avec le capitaine Horacio, concours de moustaches?

à l'approche de l'île, les eaux s'éclaircissent




en faisant le tour de l'île, les paysages changent du tout au tout


Soudain une odeur affreuse de sardine pourrie!

mmmmm, on les sent avant de les voir!,

Voici les otaries.. Ils nous ont bien fait rire, les lobos marinos (loup de mer, comme on les appelle ici).


Nous continuons de contourner l'île, et voguons vers des plages de rêve..


what else!


juste en marchant au bord de l'eau, plein de poissons jaune et noir

palapa pour la pause lunch


Joli sentier partant de la plage, aménagé dans le cadre du parc national, avec explications sur la faune et la flore. On a suivi le ponton jusqu'au bout, ensuite il se poursuivait directement dans le sable à travers la végétation, trop risquéééééé au vu de la liste exhaustive des serpents qui zonent par ici.

Retour sur la carte postale:


snorkeling avec masque de Darth Vader (comme ça qu'il s'appelle en anglais)


quand le bateau a démarré en laissant Léon derrière nous, avec son masque et ses palmes


Voici l'île des pélicans, reconnaissable à sa forte odeur de fiente et ses peintures quasi-rupestres sur l'ensemble des rochers de l'îlot

Nous préférons ne pas aborder.


sieste au retour



Pas vu de dauphins par ici, pourtant les gens semblent nous dire qu'il n'y a qu'à tourner la tête pour les apercevoir. Tant pis, ceux qu'on a vus au port de Topo étaient trop mignons, et se sont pointés sans qu'on les cherche…


nous partons vers le nord, route 1 toujours



encore un golf..


Quand tu croises un camion dans les virages de la route 1 au coucher du soleil…


adelante!